http://pumpascher.chaussurespaschere.infoJe ne voulais pas polluer la discussion de Sourinette en répondant la très intéressante question de pmdfière sur le fait d’assumer sa maladie,pum pas cher, faisant écho à la statue de W,puma golf. Churchill dans une camisole de force dont Pandore à reproduit gentiment la photo.
Personnellement,tods Femme, j’aime beaucoup l’idée de ce grand personnage dans cette situation aussi inconfortable : non seulement elle illustre une réalité politique,tods soldes, mais en plus elle rapelle que même de grands personnages étaient atteind de cette maladie qu’on appelait autrefois psychose maniaco-dépressive et qu’on nomme aujourd’hui bipolaire,tods chaussures. et que ces personnages peuvent à tout moment finir à l’hôpital psychiatrique,tods chaussures pas cher, qui de fait n’est pas là pour accueil uniquement les gens dont personne ne veut,Converse pas cher.
PMD,chaussures chanel, bipolaire,churchill dans une camisole de force,puma pas cher, je me sers indifféremment des deux termes. Puisque officiellement,chaussures tod’s en ligne, on ne se sert plus du premier terme,tods chaussures, j’évite de temps en temps de l’utiliser,chaussures pas cher, mais si je veux avoir plus d’impact,tods pas cher, je l’emploi,tods pas cher. A contrario,chaussures puma, si je veux minimiser les troubles,tods pas cher, je parle de troubles de l’humeurs plus évasifs et ne se réduisent pas à la pmd,tod’s femme.
Voila pour ce que j’ai à dire pour ce soir,chaussures pas cher. Je ne sais plus si je voulais en dire d’autres,tods.
Moi, je trouve ça plutôt bien qu’il n’y ait plus d’image pour représenter “la maladie psychique”, ça me semble quand même être une victoire, aussi modeste soit-elle, de la psychiatrie, et surtout de celle à laquelle je tiens le plus, qui a justement effacé, pour une part qui n’est tout de même pas négligeable, la frontière entre le “malade mental” et n’importe quelle autre personne vivant dans la communauté.
J’y pensais justement ce matin. Pour la semaine d’info sur la santé mentale, où l’équipe où je fais mon stage doit intervenir, les patients ont dessiné l’affiche, et le dessin, abstrait, ne cherche pas à représenter la “maladie”, ils ont choisi un dessin en forme de calligramme, plutôt tourné vers une interrogation – qu’est-ce que vivre dans une cité, pour chaque individu avec ses caractéristiques particulières.
On sort quand même de siècles de combat contre les images, les aliénés dans leurs chaînes, les hystériques débraillées et défaillantes de Charcot, les camisoles, etc. Ces images finissent par me donner la nausée.
J’ai donc croisé ce matin, dans le bus, un patient que j’avais vu il y a quelques jours en entretien, très mal en ce moment, très délirant, mais finalement il ne m’a pas semblé qu’il “détonnait” tant que cela parmi nous tous, un peu bizarre oui, mais on était peut être nombreux à avoir l’air bizarres.
La maladie mentale, même la plus grave, ne se “voit” plus autant, ce qui complique le problème des campagnes-choc, mais qui pourrait permettre de se dégager de cette fascination malsaine pour poser de vrais problèmes, ceux de la continuité des soins par exemple, qui est terriblement battue en brèche en ce moment.http://pumpascher.chaussurespaschere.info
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