oakley pas cher,lunette pas cher,Le portrait de William Warham, daté de 1527,carrera, est l’un des premiers exécuté par Holbein lors de son séjour à Londres de 1526 à 1528,oakley pas cher. Ce portrait est sans conteste l’original et non la réplique autographe comme on a pu le croire et jusqu’à ce que des analyses scientifiques l’établissent, d’un autre portrait de Warham resté en Grande-Bretagne (Lambeth Palace).
Portrait d’un haut personnage
William Warham,lunette de vue oakley, âgé de soixante-dix ans,ray ban pas cher, comme l’atteste l’inscription en haut du tableau,Ray Ban Wayfarer, est représenté à mi-corps, revêtu d’un surplis blanc et d’une étole de fourrure, les deux mains posées sur un coussin de brocart,lunette oakley motocross, à côté duquel un bréviaire est resté ouvert sur une page des litanies des saints. Son visage, d’une expression à la fois lasse et austère,ray ban, surmonté d’une calotte noire d’où s’échappent des cheveux gris, se détache sur un rideau de damas vert ; il est encadré des insignes de son pouvoir religieux,lunette ray ban pas cher, à droite, la mitre bordée d’un riche galon de pierres et de perles, devant laquelle est posé un livre à fermoirs dorés, et à gauche,ray ban moins cher, la croix processionnelle ornée de pierres serties et d’un écusson en émail aux armes de Canterbury mêlées à celles de Warham. Sur la hampe est gravée la devise du prélat : Auxilium meum a domino. Ces deux riches pièces d’orfèvrerie se détachent,ray ban pas cher 2013, dans la partie inférieure du tableau,ray ban pas cher, sur un tapis à motifs octogonaux qui dépasse de chaque côté du personnage et d’un style très fréquemment rencontré dans l’oeuvre de ce peintre.
Un grand ecclésiastique anglais
William Warham,ray ban pas cher, premier dignitaire de l’église anglaise,oakley crosshair, a été représenté en 1527 dans ce portrait en tant qu’archevêque de Canterbury et Primat d’Angleterre. Il avait en outre,lunette ray ban pas cher, avant cette date,lunette oakley, rempli entre autres les hautes fonctions d’évêque de Londres et de chancelier de l’Université d’Oxford,oakley. A ces importantes charges s’étaient ajoutées de nombreuses missions diplomatiques à l’étranger confiées par le roi,oakley pas cher, ainsi que le rôle délicat de médiateur entre le roi d’Angleterre et le pape Clément VII pour négocier l’annulation du mariage du roi avec Catherine d’Aragon. Il assista avec Henri VIII,lunette carrera 7638, qu’il accompagnait en France,oakley pas cher, à la rencontre du Camp du drap d’or en 1520. S’il mourut dans la plus grande pauvreté, ce tableau n’en présage rien,carrera sunglasses, et malgré la pose modeste et réfléchie du modèle,lunette carrera, les attributs qui l’entourent dans la richesse et la précision de leur rendu,carrera pas cher, attestent non seulement d’une réelle autorité, mais renvoient l’image d’un personnage illustre et haut placé,carrera lunettes, ami d’Erasme et de Thomas More.
Une étude à mi-buste conservée dans les collections royales anglaises à Windsor,carrera lunettes site officiel, montre un dessin préparatoire plus réaliste du visage de l’archevêque de même format que le visage peint moins marqué par l’âge et qui coïncide avec le dessin sous-jacent révélé par réflectographie.
Influence
Le portrait de Warham atteste un peintre en pleine possession de son art, signant des qualités incontestables de portraitiste et de coloriste,ray ban pas cher.
Ce portrait devait donner naissance à un certain nombre d’inspirations dérivées tel le portrait rétrospectif de l’archevêqueThomas Arundel Fitzallen peint « à la Holbein »,lunettes oakley, vers la fin du XVIe siècle,lunette carrera.
Bibliographie
– BUVELOTQuentin,ray ban moins cher, “Les portraits d’Érasme, oeuvres majeures du jeune Holbein”, in Dossier de l’Art, n 99, septembre 2003,lunette oakley, p.26-31,lunettes ray ban.
– FOUCART Walter Elisabeth, “Le Portrait de William Warham” in Les Peintures de Hans Holbein le Jeune au Louvre,oakley pas cher 3287,archevêque de Canterbury en 1504,Ray Ban Wayfarer 2140,archevêque de Canterbury en 1504, catalogue de l’exposition, musée du Louvre, Paris, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1985, Les Dossiers du département des Peintures / musée du Louvre ; 29, pp. 27-36, 69-74, 81.