Et dehors dans ma rue,http://wwwlunetteslouisvuittonpascherinfo

Témoignage: Il fait soleil, mais je hais les beaux jours,lunette louis vuitton pas cher, et même le muguet ,abercrombie!!

Je suis en colère,il faut savoir qu’il implique,http://www.lunetteslouisvuitt,polo ralph lauren pas cher, rien ne va plus. Je bous intérieurement,abercrombie pas cher, il faut que ça sorte !

Voilà : le soleil brille,Christian Dior, en ce 1er mai, les rideaux s’agitent doucement sous la brise de ce dimanche de printemps. des rayons éclairent mes plantes vertes, mon petit appartement est plus lumineux que jamais. c’est beau, mais que c’est beau !!! Et dehors dans ma rue, les gens habillés de façon estivale baguenaudent,dior pas cher, la queue de la boulangerie en face s’allonge (si, si, mais pas celle du boulanger !) et je les regarde, toutes ces belles gens. du haut de ma fenêtre je les regarde. et je transpire !

Oui, mais MOI, je disjoncte ! Je transpire et je me sens mal. Il fait chaud, et je déteste la chaleur !

Je pèse 108 kg,louis vuitton pas cher. Je suis grosse et depuis, la chaleur je la déteste. Pour moi, l’arrivée des beaux jours est synonyme de supplice,sacs louis vuitton pas cher. Ce terme peut sembler exagéré mais d’abord ça soulage ma colère et ma frustration d’aujourd’hui (dûe à d’autres causes additionnées), et ensuite si elle est moins d’actualité concernant ma grossitude, – grâce à l’acceptation de ma taille telle qu’elle est aujourd’hui – elle est un reflet de ce que j’ai vécu de longues et interminables années de souffrances dans un corps que je ne m’étais pas approprié, lorsqu’il avait pris tous ces volumes provocants et indécents,Navidad ou Novena,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.info, ces formes qui crient à qui peut les voir la souffrance de mon être,abercrombie and fitch.

Toute cette honte d’être malheureuse,ralph lauren pas cher.

Alors « supplice » pourquoi ,abercrombie pas cher?

– Parce que la chaleur pour moi est synonyme de dépression, d’angoisse, d’étouffement,boutique dior, d’oppression,louis vuitton moins cher.

– Parce qu’étant inexplicablement en train de reprendre du poids,http://affemme.vetementmagasins.info, je suis en train de revivre (fugitivement) le cauchemar de la haine de soi, du refus de son corps, de sa propre enveloppe charnelle (,abercrombie Soldes!!)

Mais. où avais-je la tête cet hiver ,ralph lauren homme? Ben,abercrombie. à travailler l’acceptation de mon corps, grâce à la Size et au Pulpe et aux Pulpies (FA’s, non-FA’s amateurs de « moi » telle que je suis, et amies très chères) ! A m’aimer comme je suis, à apprivoiser mon image. A me narcissiser. A avancer dans ma thérapie, à sortir de mon isolement social et affectif.

Pas à maigrir, pas à me restreindre, pas à me faire violence encore et toujours, comme je l’avais toujours fait, surtout dans les domaines émotionnels, affectifs et sociaux.

En tout cas aujourd’hui :

– Dur de trouver des vêtements d’été à ma taille, mais où sont-ils cachés dans cette armoire pleine de vêtements que je ne peux plus mettre depuis longtemps, et de ceux que j’ai tant porté,du début des années 80.,http://www.lunettesloui, ces « sacs » informes et sombres ?

– Dur d’avoir à envisager de me montrer et de moins me cacher.

– Dur d’avoir des cuisses qui frottent et s’irritent et de ressortir les affreux « cyclistes » en nylon dans lesquels j’ai si chaud. Ou bien quelque caleçon long d’un autre temps mais utilisé au Maghreb, offert par ce copain algérien croyant me faire plaisir ?

– Dur que ma transpiration se manifeste honteusement.

– Dur d’avoir à braver les regards (bon, ok, j’en rajoute, depuis quelques temps et selon mes humeurs, j’affiche avec bravade mes formes en vêtements plus moulants, et soutenant en tremblant intérieurement les regards choqués ou gênés.)

– Dur d’avoir à montrer mes bras. Mais. où est le plaisir de sentir l’air sur ses bras et ses épaules que les filles minces ont l’air de ressentir avec tant d’insouciance ? Et je ne parle même pas des jambes !!! Bon, je passe évidemment les hanches et les fesses, j’ai beau les aimer de plus en plus. mais le ventre ! Hein ? Le bidon qui retombe sur le pubis, tu trouves ça beau, toi ? Dans ta jupe d’été ? Et ma cellulite. celle de mes bras, celle qui s’aperçoit même sur mes mollets ? Et mes cicatrices sur mes genoux (les opérations multiples).

Alors, (en essayant de trier mes vêtements et décidant de façon unilatérale de donner ces quelques pantalons trop étroits gardés depuis si longtemps en l’espoir de. quoi ? un rêve, un fantasme ? un idéal d’une autre « moi » ? D’une vie rêvée qui ne tiendrait pas compte de mes blessures ?).j’avais envie de dire à vous messieurs : toi, Monsieur FA qui aime les rondeurs tous azimuts, dis le dans ton regard quand tu me croises, appuies-le et rassure-moi, mes bourrelets te font envie.

– à toi, non-FA mais homme conscient et débordant de ta testostérone, que mes formes appellent ton désir et ta virilité et que c’est de l’hyper féminité que j’affiche sous ton regard troublé.

– à toi, femme ou homme indistinctement, renvoie-moi que j’ai le regard qui brille et même flamboie de vie et d’envies. et que je ne suis pas « que » ce corps, même si je revendique de l’être aussi.

Que je suis « dans » mon corps, et que je « suis » mon corps, cet être unique qui a vécu une histoire, que cela s’est imprimé dans mon apparence, en témoignage parfois choquant pour autrui.

Et que je décide de vivre avec – et le faire avec grâce – et de cesser de lutter et de combattre comme un insecte contre une vitre.

Je revendique de vivre avec douceur et grâce ma grossitude, mes formes et celle que je suis telle que je suis, parce que je m’habite enfin, que je suis moi et que je compte en faire un phare, une lumière qui apportera dans les tempêtes des vies des autres une lueur-guide et d’espoir.

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