http://pumpascher.chaussurespaschere.info«Excellent» selon Gilles Simon, «un roc» selon Jo-Wilfried Tsonga, «son meilleur match de l’année, un match plein,nike pas cher, très concentré,mocassins tod’s, bien en jambes,tods pas cher, plus offensif que d’habitude, un match référence pour entrer dans la Coupe Davis» selon Guy Forget. Ce concert de louanges après la victoire (6-1,tods chaussures, 6-4,tod’s femme, 7-6 [5]) de Gaël Monfils contre Philipp Kohlschreiber n’est pas anodin. Tous les Bleus connaissent l’importance de gagner un premier match de Coupe Davis et gardent peut-être aussi dans un coin de leur tête le choix de Gaël Monfils de se retirer du tournoi d’Acapulco. Si le Parisien a toujours évoqué son besoin de repos pour évoquer son forfait,tods chaussures, les avis contraires de ses coéquipiers et copains ont sûrement pesé.
La présence de Gilles Simon en spectateur actif
Dans un sport individualiste comme le tennis,pum pas cher, la présence de Gilles Simon comme spectateur très actif au sein du groupe possède une vraie signification. Arrivé jeudi à Toulon,tods, il a même servi de sparring-partner vendredi matin en double pour entraîner ”Mika” et ”Bennet” et il considère cette venue comme normale : «Je le fais juste parce que je suis super content d’être là et de venir les encourager,chaussures puma. Il y a un bon groupe qui se construit et j’espère qu’on va faire quelque chose de très bien en Coupe Davis cette année. Il faut qu’on raisonne avec beaucoup de joueurs et chacun peut apporter son aide sur une rencontre. Une équipe, c’est six ou sept joueurs en fonction de la forme de chacun,tods pas cher, de la surface et des blessures,chaussures tod’s en ligne. J’avais juste envie de partager cette rencontre avec eux,tods soldes, les encourager parce que je fais partie de cette équipe même si je ne peux pas défendre mes chances sur le terrain.»
Gasquet,puma pas cher, sparring «exemplaire»
Appelé comme 5e homme,chaussures pas cher, Richard Gasquet joue le rôle de sparring-partner,tods pas cher. Pour un ancien 7e mondial,Converse pas cher,La preuve par quatre, la tâche peut apparaître ingrate. Mais il endosse parfaitement le costume. «”Ritchie” est avec nous depuis le début et il fait un boulot monstre,puma animal. Il joue avec tous les mecs une heure, il joue cinq heures par jour,tods Femme. Il est exemplaire,chaussures pas cher, insiste Jo-Wilfried Tsonga. Je trouve cela super.» Pour l’équipe, chacun met son ego de côté et un groupe semble naître. «Cela peut être un départ et j’ai l’impression qu’ils se sentent tous concernés par ce qui va se passer maintenant. Il y a une petite mayonnaise qui est en train de prendre mais il faut continuer à la touiller», avoue Guy Forget, «heureux et soulagé» de voir les Bleus mener 2-0 après la première journée.
Une équipe, c’est aussi un leader
Si Jo-Wilfried Tsonga ne se voit pas en leader mais en relais entre deux générations, il possède la carrure du chef de groupe. Qu’il joue bien ou mal, il gagne. A Toulon, il a fait «le boulot» en s’imposant (6-3, 6-2, 6-7[2], 6-3) contre Benjamin Becker et reste invaincu en sept matches de Coupe Davis. Au-delà de ses résultats, il adore l’épreuve et l’esprit d’équipe. «Il s’est passé pas mal de choses depuis notre défaite contre les Tchèques. On est arrivé là-bas en pensant être un groupe solide et on ne restait que des individualités au sein d’une équipe. Aujourd’hui, on fait vraiment tous partie d’un collectif, on est tous à se serrer les coudes, explique le Manceau. Même ceux qui ne jouent pas, viennent. L’important dans cette compétition, ce n’est pas soi-même, c’est juste le groupe et faire vivre ce groupe France qui a beaucoup de potentiel et qui peut aller loin si on est solidaires.» Cette solidarité est née de discussions formelles (comme à Bercy avec le capitaine) ou informelles sur le circuit entre joueurs. Les Français se sont dit les choses : «C’est dur de dire à ton pote : tu fais chier, on ne veut pas que tu fasses ça ou tu fais comme ça. Maintenant on arrive à le faire parce qu’on s’investit à fond là-dedans.» Maintenant il reste à conclure. Avec Michaël Llodra, Julien Benneteau, amoureux depuis l’enfance de l’épreuve, pourrait conclure en beauté cette victoire d’équipe. Après avoir menée 2-0, l’équipe de France n’a perdu que deux rencontres en 104 matches depuis 1904. Certaines statistiques donnent le sourire. – Sophie DORGAN, à Toulonhttp://pumpascher.chaussurespaschere.info
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