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Messieurs les qui sont tous parisiens nous chantent la Parisienne sur tous les tons, parce qu’ils ne connaissent qu’elle, mais je d moi ,polo ralph lauren pas cher! que la provinciale vaut cent fois plus, quand elle est de qualit sup La provinciale fine a une allure toute particuli plus discr que celle de la Parisienne, plus humble, qui ne promet rien et donne beaucoup, tandis que la Parisienne, la plupart du temps,polo ralph lauren, promet beaucoup et ne donne rien au d La Parisienne, c’est le triomphe et effront du faux. La provinciale, c’est la modestie du vrai.

Une petite provinciale d avec son air de bourgeoise alerte,polo ralph lauren boutiquen, sa candeur trompeuse de pensionnaire, son sourire qui ne dit rien,polo ralph lauren pas cher, et ses bonnes petites passions adroites, mais tenaces, doit montrer mille fois plus de ruse, de souplesse, d’invention f que toutes les Parisiennes r pour arriver satisfaire ses go ou ses vices, sans aucun soup aucun potin, aucun scandale dans la petite ville qui la regarde avec tous ses yeux et toutes ses fen Mme Amandon un type de cette race rare,ralph lauren pas cher, mais charmante. Jamais on ne l’avait suspect jamais on n’aurait pens que sa vie n’ pas limpide comme son regard, un regard marron,polo ralph lauren pas cher, transparent et chaud, mais si honn – vas-y voir !

Oh ! elle connaissait les cadres aussi bien que le colonel,ralph lauren femme. Elle savait tout, tout, les habitudes intimes,ralph lauren pas cher, l’instruction,ralph lauren 2013, l’ les qualit physiques, la r la fatigue, le caract patient ou violent, la fortune, la tendance l’ ou la prodigalit Puis elle faisait son choix,polo ralph lauren. Elle prenait de pr les hommes d’allure calme, comme elle,ralph lauren discount, mais elle les voulait beaux,ralph lauren soldes. Elle voulait encore qu’ils n’eussent aucune liaison connue, aucune passion ayant pu laisser des traces ou ayant fait quelque bruit,ralph lauren pas cher. Car l’homme dont on cite les amours n’est jamais un homme bien discret.

Et elle sortait vers huit heures,ralph lauren pas cher, entrait l’Association,polo ralph lauren pas cher, en ressortait aussit passait par diverses rues, et, se trouvant seule dans quelque ruelle, dans quelque coin sombre et sans quinquet,polo ralph lauren pas cher, elle enlevait son chapeau,pull ralph lauren, le rempla par un bonnet de bonne apport sous son mantelet, d un tablier blanc dissimul de la m fa le nouait autour de sa taille,polo ralph lauren, et portant dans une serviette son chapeau de ville et le v qui tout l’heure lui couvrait les elle s’en allait trottinant, hardie, les hanches d petite bobonne qui fait une commission ; et quelquefois m elle courait comme si elle e fort press Qui donc aurait reconnu dans cette servante mince et vive madame la premi pr Amandon ?

Pendant une seconde, elle demeura immobile, trop effar pour rien comprendre. Mais le froid de cette chair inerte fit p dans la sienne une atroce et irraisonn avant que son esprit e pu commencer r Elle avait fait un bond hors du lit, fr de la t aux pieds ; puis, courant la chemin elle saisit la bougie, revint et regarda ! Et elle aper un visage affreux qu’elle ne connaissait point, noir, enfl les yeux clos, avec une grimace horrible de la m Elle poussa un cri, un de ces cris aigus et interminables que jettent les femmes dans leurs affolements, et, laissant tomber sa bougie, elle ouvrit la porte, s’enfuit, nue, par le couloir en continuant hurler d’une fa Un commis voyageur en chaussettes, qui occupait la chambre no 4, sortit aussit et la re dans ses bras.

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