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Dans la cuisine de leur maison de Saint-Brieuc, pas loin des scones chauds que l’adorable Julie, incarnation de Yelle, vient de préparer pour le petit déjeuner, trône un truc qu’on n’avait pas vu depuis des lustres : des sachets de Frizzy Pazzy, le “chewing-gum qui claque et qui craque”. Ceux nés entre 1975 et 1985 connaissent bien ce machin chimique : une douce friandise pop et une sournoise attaque pétillante,ray ban wayfarer, du sucre pour ruiner les dents et de l’acide pour affoler les papilles. L’image résume bien l’essence de Yelle, encore plus depuis Safari Disco Club,lunettes carrera moins cher, deuxième album génial et grande oeuvre pop. Une farandole de saveurs,lunette carrera pas cher, une concurrence de sensations : un plaisir initial fondamentalement gamin et innocent,oakley pas cher, puis le second effet, plus amer et surprenant, de la subversion,ray ban pas cher.

En quelques années, les Bretons se sont permis tous les grands écarts. Yelle a été mis au monde sur MySpace en 2006, mais le trio – GrandMarnier,oakley black iridium, Tepr et Yelle – a fini par vendre plus de 120 000 albums dans le monde,oakley crosshair. Ils ont collaboré avec les plutôt pointus Crookers,carrera lunettes, ont remixé Katy Perry et ont connu leur plus gros tube en apparaissant sur un morceau de Michaël Youn,soldes sac. Ils ont donné leurs premiers concerts au Paris Paris, alors au centre de la branchitude parisienne, mais ont fait salle comble dans le monde entier. Ils ont joué dans des festivals de techno pouilleuse avant de rendre maboul le public du gargantuesque et cool festival Coachella, en Californie. Ils font la première partie de Katy Perry en Angleterre mais débutent leur tournée par un concert à Saint-Brieuc,sacs pas cher, chez eux,ray ban lunettes, devant les copains, la famille et les locaux.

A La Citrouille, la salle du coin,lunette carrera, entre deux bulldozers electro-pop,lunette oakley, Julie a repris Loguivy-de-la-Mer, succès bretonnant de son père, lui-même auteur et compositeur. C’est donc là-bas qu’on retrouve Julie (Yelle) et Jean-François (GrandMarnier),ray ban pas cher, autour de cette assiette de scones chauds, dans une belle maison moderne à la lisière du centre-ville. Ce lieu est une base arrière. Au calme, près des potes et de la mer,ray ban cats pas cher, à quelques minutes de la belle pointe du Roselier, les Bretons y douchent l’adrénaline quand ils rentrent de leurs tournées frénétiques. C’est là aussi que ces artisans et gros bûcheurs ont installé leur home-studio cosy.

Deux semaines plus tôt, à 6 000 kilomètres plus à l’ouest, l’ambiance et le décor sont radicalement autres,carrera lunettes. Dans le Lincoln Center de Manhattan, épicentre de la fashion week new-yorkaise, des mannequins exhibent leur moue au milieu d’une foule de people pas si beautiful que ça ,pliage longchamp pas cher; beaucoup de “blah blah blah” et de “hu hu hu” en mode automatique entre deux coupes de champagne : du glamour un peu fake,sacs moins cher. Une chaîne de boutiques-hôtels a invité les Briochins à se faire les griffes, du réseau et un peu d’argent de poche,ray ban lunettes. Bien loin de la tranquillité bretonne, le reste du séjour new-yorkais tourne à la frénésie mais retrouve du lustre : des journées de promotion bourrées d’interviews et de sessions photo pour une presse américaine aussi branchée qu’excitée ,lunette carrera; un DJ set au Bain de New York, club posé au faîte de l’opulent Standard Hotel du Meatpacking District où le label parisien Kitsuné lançait sa nouvelle compilation, Kitsuné Parisien ; une élégante soirée au Tribeca Grand Hotel. La classe américaine,lunette oakley.

De La Citrouille à la fashion week : le grand écart frise l’élongation. Quoi qu’il fasse, Yelle est bien plus qu’un groupe : une petite entreprise quasi familiale (Olivier Le Brouder,oakley pas cher, leur ingénieur du son et bon copain, y tient une place primordiale), libérée de tout contrat et dorénavant intégralement autoproduite, qui prend en charge sa vie et son business, des clips aux jeux vidéo (un morceau pour Super Monkey Ball de Sega, notamment), de la mode aux visuels. Yelle incarne la version frenchie, artisanale et moderne de l’entertainment à l’américaine, qui n’a pas honte de l’union des genres, qui s’en délecte et s’en alimente, mais jamais à n’importe quel prix et surtout pas celui de l’intégrité. “On a toujours fait ce qu’on voulait et on va continuer, explique GrandMarnier. On ne regrette absolument pas notre collaboration avec Michaël Youn sur Parle à ma main. On a trouvé ça cool, hyper assumé musicalement. Je me souviens que Pedro Winter (boss du label Ed Banger – ndlr) m’avait appelé pour me dire qu’il adorait. Pedro Winter, mec ! Le patron du cool ! On a aussi trouvé génial de faire A cause des garçons avec le label Kitsuné. Ce genre d’écart nous passionne, c’est pour nous l’essence de la pop. Nous restons fascinés quand Snoop Dogg fait une pub pour du poulet… En France, on adore Richard Gotainer, un musicien génial qui a aussi fait des tonnes de musiques de pub. C’est exactement ce genre de mec qui nous fascine : quelqu’un qui a joué avec tous les codes de son temps. J’entends des gens me dire qu’ils veulent faire de la musique intemporelle : ça me fait chier, moi, la musique intemporelle. On veut faire de la musique qui révèle une époque et son sens.”

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