oakley pas cher ccdhttp://oakleylunettespascherwebscom

Si Walt Disney s’est inspiré de nombreuses œuvres artistiques et littéraires pour ses films,oakley pas cher, les artistes le lui rendent bien,lunette carrera. De Paolozzi à Andy Warhol,ray ban pas cher, en passant par Lichtenstein,lunette oakley, ils ont été nombreux à imaginé des œuvres autour de Mickey,carrera lunettes.

Mickey,ray ban lunettes, et l’univers de Disney en général,oakley radar, constitue une véritable source d’inspiration de l’art contemporain,oakley lunettes. L’écossais Eduardo Paolozzi fut ainsi le premier artiste à faire intervenir Mickey et Donald dans ses collages,lunettes ray ban pas cher. Roy Lichtenstein réalise également plusieurs œuvres,sacs moins cher, notamment « Look Mickey »,carrera 2013, une peinture représentant Donald et Mickey en train de pêcher au bord d’un quai. Quant à Andy Warhol,ray ban pas cher, il fait figurer Mickey dans sa série de personnages célèbres du XXe siècle aux côtés de Marylin Monroe,ray ban lunettes, et représente Donald dans une sorte de galerie des glaces où son image se reproduit à l’infini. « C’est dans les années 60 que va naître ce goût des artistes pour les personnages de Mickey et de Donald »,lunette carrera, observe Bruno Girveau,sacs longchamp pas cher, chef du département du développement scientifique et culturel aux Beaux-arts de Paris et commissaire de l’exposition « Il était une fois Walt Disney »,carrera lunettes.

Représentant deux personnalités complètement différentes,soldes sac, les deux héros de Disney forment un couple qui inspire les artistes du mouvement Pop Art,lunette ray ban boutique. Si Mickey est plutôt sage et courageux,oakley pas cher, Donald s’avère beaucoup plus colérique,carrera lunettes site officiel, mais aussi plus drôle.

Une icône, pour le meilleur et pour le pire

A la suite de ces artistes,lunette oakley, d’autres s’engouffrent dans la brèche,sacs pas cher, à l’instar de Claes Oldenburg ou encore de Robert Combas. En 1979, ce peintre français résume ainsi très bien dans un de ses tableaux le statut de Mickey : « Mickey n’est plus la propriété de Walt, il appartient à tout le monde ». Il est devenu une telle icône que Disney en est presque dépossédé. « Les artistes s’en sont emparés pour le meilleur et pour le pire », souligne Bruno Girveau. C’est là la rançon de la gloire en quelque sorte.

Pour Bruno Girveau, le personnage de Mickey va bien au-delà de ce qu’a voulu son créateur. Il va notamment symboliser des choses qu’il ne souhaitait absolument pas, comme l’hégémonie américaine. Son utilisation dans l’art peut alors être un hommage, ou au contraire servir d’emblème pour attaquer l’image des Etats-Unis, et la société de consommation.

Il n’en demeure pas moins que beaucoup d’artistes ayant aimé Disney dans leur enfance revendiquent le fait que Mickey fasse partie de leur bagage culturel. Nombreux sont aujourd’hui les stylistes à s’inspirer de la petite souris dans leurs collections. A l’instar de Jean-Charles de Castelbajac, très inspiré par l’univers de l’enfance.

articles connexes:

http://bbs.lzktjs.com/forum.php?mod=viewthread&tid=1128042

http://www.zyxww.net/plus/view.php?aid=6141

http://dreamangel.uueasy.com/read.php?tid=0

http://frcarrerapascher.webs.com

http://lunettesraybandiscount.webs.com/

This entry was posted in News and tagged , , . Bookmark the permalink.

Leave a Reply