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2013,http://frcarrerapascher.webs.com/Melting potesLes premiers tours de piste de Sonic dans les jeux de course truffés de bonus ne s’étaient pas faits sans heurts : on se souvient du gameplay approximatif de Sonic Riders et de Zero Gravity, trop frustrant pour être réellement amusant,lunettes carrera moins cher. Dans Sonic SEGA All-Stars Racing, on oublie l’hoverboard et on monte à bord de véhicules bien plus maniables pour proposer une expérience dans la veine d’un Mario Kart : des circuits colorés,lunette de vue oakley, des bonus pour pimenter, et même des figures stylées. Et pour séduire un public plus large, Sega n’a pas hésité à appliquer la recette du cross over,sacs moins cher, déjà utilisée pour Sega Superstars Tennis. En plus des sept personnages issus de l’univers de Sonic the Hedgehog (tous classiques et attendus sauf peut-être Big the Cat), on peut incarner entre autres Jacky Bryant et Akira Yuki de Virtua Fighter,lunette oakley, le mythique Ryo Hazuki de Shenmue, AiAi de Super Monkey Ball,soldes sac, Amigo de Samba de Amigo, la pétillante Ulala de Space Channel 5 et bien d’autres,ray ban pas cher. Sega a même fait les fonds de tiroir pour exhumer Alex Kidd, tout droit venu de son Miracle World, Robo et Mobo de Bonanza Bros. et même Billy Hatcher, le garçon à la crête de coq de Billy Hatcher and the Giant Egg que tout le monde a oublié,ray ban lunettes. Et dire que le héros de NiGHTS doit se contenter d’agiter le drapeau. Le casting est éclectique et les fans de Sega devraient y trouver leur compte, même si tous les personnages ne sont pas disponibles d’emblée. La version 360 bénéficie quant à elle de deux conducteurs supplémentaires dès le départ : l’ours Banjo, issu de la série éponyme et évidemment accompagné de sa fidèle amie Kazooie,oakley pas cher, ainsi que les désormais non moins célèbres avatars,lunette ray ban boutique. Ces vingt-deux personnages possèdent chacun leur propre véhicule : voiture, moto, avion ou même vaisseau. Malheureusement, le gameplay global ne diffère pas selon le moyen de locomotion. Tout au plus avons-nous les différentes statistiques habituelles, c’est-à-dire la vitesse de pointe, l’accélération,oakley pas cher, le turbo et la manoeuvrabilité, qui viennent modifier quelque peu la conduite selon le véhicule.

Côté modes de jeu, Sonic SEGA All-Stars Racing nous ressort les options habituelles. En plus de la course classique et du contre-la-montre sur lesquels il est inutile de s’étaler,carrera lunettes, on trouve bien évidemment les grands prix, au nombre de six, qui se partagent les vingt-quatre pistes du jeu. Pour se défouler, les huit concurrents ont droit à un bon tiers de courses inspirées de trois niveaux de Sonic the Hedgehog (le casino,ray ban lunettes, la plage de l’orque de Sonic Adventure et la forteresse Robotnik), à quelques pistes aux couleurs de Samba de Amigo,Test Sonic SEGA All,lunette oakley, The House of The Dead, Jet Set Radio, Super Monkey Ball, Billy Hatcher, et c’est tout. Quitte à jouer la carte du fan service,sac dior, Sega aurait pu pousser la démarche jusqu’au bout en proposant au moins un circuit spécifique pour chacun des personnages présents dans le jeu, histoire d’inclure au passage un peu plus de variété. De plus, si certaines courses sont très stylées visuellement, comme la Canopée, la Forêt de l’Effroi, le Tour du Soleil ou celles dans le casino Sonic, la majorité des tracés manquent tout de même d’originalité. Vrilles, loopings, bosses, fossés : SSAS Racing a beau réutiliser les classiques de façon correcte, il n’invente rien et cela se ressent. Si la recette fonctionne, elle ne surprendra personne. Deux ou trois circuits réussissent même à être aussi inintéressants que moches,lunettes de soleil carrera pas cher. Sur vingt-quatre,Test Sonic SEGA All, c’est relativement peu, mais c’est toujours ça de trop,lunette carrera.

Pour corser le tout, chaque parcours est évidemment truffé de réceptacles à bonus. Rien de très original non plus de ce côté-là : on retrouve tout l’arsenal habituel d’un fun racing game,carrera lunettes, avec cette fois-ci la possibilité de savoir ce que les autres concurrents ont dans la poche. Les aficionados de Mario Kart reconnaîtront sans peine leurs carapaces et leurs bananes déguisées en gants de boxe et en plots. Pas de véritable nouveauté de ce côté-là,oakley soldes, tout au plus remarque-t-on une option qui retourne momentanément l’écran (comme dans MySims Racing) ou encore le klaxon surpuissant (qui rappelle l’inoubliable Street Racer). Si le joueur est trop à la traîne, il peut néanmoins avoir l’opportunité de déclencher un coup “all-star”, unique pour chaque personnage, qui lui permettra de grapiller plusieurs places sans grande difficulté. Un peu plus originaux, ces coups spéciaux restent cependant très rares,ray ban pas cher. Et rien qu’avec les objets bonus,lunette carrera, on a déjà un peu trop l’impression de déjà-joué.

Sub Sonic KartCette impression de déjà-joué, c’est d’ailleurs certainement le plus gros problème de Sonic SEGA All-Stars Racing qui lorgne trop, beaucoup trop du côté de Mario Kart, au point d’en repomper les turbos dans les virages et même les figures lors des sauts. Cela aurait pu être mignon si SSAS Racing avait apporté une valeur ajoutée à la recette. Mais non, ce n’est pas le cas. Et c’est même pire,lunettes ray ban pas cher, puisque le titre de Sega ajoute quelques défauts à ceux de l’original qu’il n’a pas su gommer. Exemple flagrant : pour contrer le joueur dans les modes de difficulté supérieurs, Sonic SEGA All-Stars Racing utilise la technique bien connue du harcèlement : les concurrents dépassent allégrement le joueur, bénéficient étrangement des options les plus redoutables et les emploient avec une précision de chirurgien. Bref, comme dans un bon vieux Mario Kart, l’ordinateur triche, ce qui est forcément un peu frustrant. Bien conduire ne suffit pas,sacs pas cher, d’autant plus que les erreurs de pilotage sont en réalité à peine sanctionnées : une collision avec un mur ralentit le joueur mais le remet automatiquement dans le sens de la course. Bon, évidemment, quand à la place du mur on trouve un gouffre, c’est tout de suite un peu plus embêtant. Tous ces choix de gameplay rendent malheureusement la difficulté trop artificielle : le skill n’est pas assez valorisé par rapport à la chance. A ce moment-là, on se dit qu’aller fouiner du côté des missions pourrait être une bonne idée. Mais là encore, il y a de quoi rester perplexe. En effet, les soixante-quatre missions manquent de piment : les divers objectifs ne sont pas toujours très palpitants et se révèlent en général assez faciles, si bien que l’on y arrive la plupart du temps lors du premier essai. Seuls les obsédés du score (et des succès, évidemment) s’acharneront donc à terminer toutes ces épreuves avec le rang AAA.

Enfin, que serait un fun racing game sans un mode multijoueur ? Bien évidemment, Sonic SEGA All-Stars Racing offre la possibilité aux joueurs qui ont des amis de faire chauffer le moteur à plusieurs, dans la joie et la bonne humeur, en local à quatre sur écran partagé et en ligne à huit. Les courses entre amis, c’est tout de suite bien plus sympathique et surtout plus pêchu : si, en solo, le titre est moins vitaminé et addictif qu’un Mario Kart, le multi reste un atout de taille. SSAS Racing offre donc ses meilleurs moments dès lors que l’on a plusieurs manettes ou que l’on est abonné au Xbox Live. En plus de pouvoir faire la course, on peut également s’affronter dans quelques autres épreuves. Une fois de plus, difficile de ne pas penser au plombier et à sa petite moustache. On retrouve donc entre autres la traditionnelle bataille où il faut dégommer l’adversaire avec les options glanées sur le terrain, la collecte où il faut garder ses joyaux sur soi le plus longtemps possible ou le roi de la colline où il faut rester dans une zone spécifique. Malheureusement, le résultat est loin d’être passionnant, notamment à cause de la demi-poignée d’arènes totalement insipides. Peu d’originalité, peu de nervosité : autant se contenter des courses.

Au final, ceux qui attendaient le premier “Mario Kart HD”, ou tout simplement un bon fun racing game, risquent d’être déçus, d’autant plus que la réalisation n’est pas exceptionnelle. Déjà, il faut composer avec des temps de chargement un peu trop longs. Pour ce qui est des graphismes, le titre s’en sort encore assez bien. Les courses sont pour la plupart assez jolies même si elles n’en mettent jamais plein les yeux et même si les quelques effets tombent souvent à plat. Le titre souffre également d’un léger manque de fluidité. Heureusement, la jouabilité n’est pas entravée et cela ne devrait gêner que les plus grincheux. En ce qui concerne l’ambiance sonore, le bilan est un peu plus mitigé. On a la chance de retrouver les fameux thèmes des différentes séries, mais dans des versions souvent entendues et réentendues, à tel point que ceux qui ont déjà joué à Sega Superstars Tennis auront l’impression de retrouver la même bande son. Autre souci : le commentateur. Il agace, il radote, il est à côté de la plaque, bref : au lieu de dynamiser le jeu, il l’alourdit, et c’est bien dommage. Finalement, Sonic a beau être le plus rapide, il semblerait qu’il ait plusieurs tours de retard quand il s’agit de jeux de course.

En jouant à Sonic SEGA All-Stars Racing, on ne peut s’empêcher d’avoir l’impression de jouer à un Mario Kart avec une skin Sega. S’il n’y avait que ça, SSAS Racing aurait pu être un très bon fun racing game. Malheureusement, ce joyeux cross over un peu trop sage mise davantage sur la forme que sur le fond. Le casting et les graphismes ne suffisent pas à masquer les lacunes du titre, qui souffre d’un manque d’originalité flagrant. A vouloir trop ressembler au plombier, le hérisson en a oublié la créativité et n’a même pas réussi à pondre une copie aussi dynamique que l’original : des tracés trop basiques, un manque d’audace, peu de folie et de rebondissements, des missions sans saveur, des bonus que l’on connaît déjà par coeur et un soupçon de gruge de la part de l’ordinateur. Heureusement, le mode multijoueur rattrape comme il peut le coup et saura éventuellement satisfaire les amateurs du genre, en local ou en ligne. Sinon, c’était assurément l’accident.

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