ray ban lunettes dbbhttp://raybanaviatorfrancewebscom/

2013,http://frcarrerapascher.webs.com/Genre historique et prolifique du PC, le STR accueille en cette fin d’année 2007 un nouveau fidèle au nom évocateur : World in Conflict. S’il n’a pas toujours été très présent sur le front vidéoludique tout au long de sa longue période de développement, la réputation de ses géniteurs – Massive – a suffi à tenir les joueurs et surtout les amateurs de Ground Control aux aguets. Après des versions preview encourageantes, il est en tout cas désormais temps de se joindre pour de bon à cette guerre, définitivement Massive.

Mon peuple vaincra !Succombant, lui aussi,ray ban lunettes, à la mode des scénarios uchroniques, World in Conflict nous propulse à la fin des années 80,sacs moins cher, où la Guerre Froide s’est transformée en Troisième Guerre mondiale. Après avoir embrasé toute l’Europe, l’URSS se tourne désormais vers les Etats-Unis et débarque sur Seattle lors du début de la campagne solo du titre. C’est cette dernière qui nous intéressera d’ailleurs tout particulièrement dans un premier temps. Elle ne regroupe qu’une quinzaine de missions terminées en moins de dix heures, et permet de prendre en main deux des trois factions du jeu : les Etats-Unis et l’OTAN, l’URSS n’étant jouable qu’en multijoueur. Baladé du continent nord-américain à la France puis à la Scandinavie et enfin en Russie, on y incarnera un jeune lieutenant faisant ses classes sur le tas et gagnant petit à petit la confiance de son colonel,carrera lunettes. Le tout est agréablement bien mis en scène avec des cut-scenes entre chaque mission ou presque et un déroulement global des opérations conté lors des chargements. Pas le temps de rêvasser donc, il faut agir vite et bien dans une campagne très intense et enchaînant les objectifs plutôt variés, tantôt obligatoires, tantôt facultatifs,oakley canada. Tenir un point stratégique avant l’arrivée des renforts, tendre un piège aux “rouges” en les attirant vers un endroit précis pour mieux les pilonner,lunette carrera magasins, prendre d’assaut une base ennemie ou encore récupérer des informations confidentielles perdues lors du crash d’un avion espion,ray ban cats, les missions se suivent et ne se ressemblent pas dans World in Conflict, qui bénéficie en outre d’une ambiance assez exceptionnelle. C’est bien simple,oakley pas cher, on se sentira réellement au coeur du conflit, d’autres fronts se développant autour de nous, des bataillons alliés demandant régulièrement de l’aide (que l’on pourra refuser ou accepter) et la situation évoluant finalement sans cesse au cours d’une même mission. Si ce n’est le scénario un brin manichéen,oakley pas cher, une mise en scène parfois un peu pompeuse et une durée de vie trop courte,lunette oakley, difficile de trouver d’autres choses à redire sur cette campagne solo, franchement captivante. On en redemande en tout cas.

La saucisse et le marteauEmpruntant beaucoup à Ground Control, le gameplay de World in Conflict met une nouvelle fois l’accent sur le management des unités. Aucun bâtiment n’est ainsi à construire et aucune ressource n’est à collecter (tout du moins de façon classique),lunette carrera, mais pour autant, on accueillera bien régulièrement de nouvelles unités fraîches sur le champ de bataille. Celles-ci seront en effet parachutées à notre demande, vingt secondes après les avoir commandées via le système de renforts. Son principe est simple puisqu’il fonctionne avec des points d’abord attribués au début de la mission puis progressivement au cours de celle-ci,carrera lunettes. On y achètera donc nos unités petit à petit, pour ne contrôler au final qu’une poignée d’entre elles à chaque fois. Et lorsqu’elles disparaîtront, on récupérera dans les secondes qui suivent et à un rythme dépendant directement de nos performances, les points nécessaires à leur rachat, nous donnant ainsi une nouvelle chance. Dans un souci d’équilibre, on repartira toutefois avec des unités fraîches, sans expérience, ce qui constitue un sacré handicap. Un système bien pensé, qui laisse toutefois libre cours à des assauts inconsidérés, même si on se rendra vite compte que la stratégie l’emportera sur le bourrinage, du moins en solo. En ce qui concerne les unités, on compte quatre grandes familles qui définissent d’ailleurs les quatre rôles disponibles en multijoueur : l’infanterie (soldats classiques, antichars ou encore snipers), les blindés (tanks lourds ou légers ou engins de réparation), l’aviation (hélicos d’attaque ou de reconnaissance) et le soutien (DCA et artillerie). A chaque fois, on retrouve seulement six ou sept types d’unités, pour un total assez restreint donc, surtout que toutes les factions possèdent les mêmes, mais seulement déclinées avec des skins différentes. Une idée sans doute lumineuse pour Massive qui joue la carte de l’accessibilité et évite par la même occasion les casse-têtes de l’équilibrage, mais au prix d’une certaine frustration chez les joueurs et d’un léger manque de profondeur il faut bien l’avouer.

Le gameplay nerveux de World in Conflict passe également par les Tactical Aids, des attaques plus ou moins dévastatrices à s’offrir avec des points décernés selon notre efficacité sur le terrain. Ces aides tactiques,lunette oakley, en bon français,sacs chanel pas cher, sont divisées en trois groupes : les non-mortelles qui permettent de faire appel à une reconnaissance aérienne ou encore de réparer un pont par exemple,ray ban lunettes, les sélectives comprenant des frappes au napalm ou chimiques particulièrement efficaces sur l’infanterie et enfin celles de zone. Parmi ces dernières,ray ban clubmaster, on compte un tapis de bombes ou encore une bombe nucléaire qui ravagera tout sur son passage, et ce,ray ban pas cher, même un bon moment après son impact. Toutes pourront être lancées n’importe où sur la carte, et un laps de temps plus ou moins long (une vingtaine de secondes tout au plus) sera à observer entre leur déclenchement et leur arrivée effective, si bien qu’il faudra prévoir son coup, surtout si on vise des cibles mobiles. Leur influence sur la bataille est en tout cas décisive tant un simple raid aérien ou un barrage d’artillerie bien placé pourra complètement redistribuer les cartes,soldes sac. Autre élément à prendre en compte dans le feu de l’action, les compétences spéciales de chaque unité. La plupart en propose deux,sacs pas cher, une offensive et une autre défensive comme un missile air-sol bien puissant pour les hélicos lourds ou un écran de fumée pour les tanks. Bref, même si seulement quelques unités seront à chaque fois sous notre coupe, on ne s’ennuiera pas pour autant, surtout que toutes possèdent leurs faiblesses qui, une fois exploitées par l’ennemi, les réduiront en poussière en une fraction de secondes. Il faudra donc garder l’oeil ouvert et le bon,lunette carrera pas cher. On remarquera aussi rapidement que la topographie des lieux jouera un rôle prépondérant dans nos offensives, une division de blindés étant plus difficile à déplacer en ville qu’en rase campagne, tandis que les forêts et les bâtiments souriront à l’infanterie qui y trouvera facilement refuge. Certaines unités n’ayant pas la même armure à l’avant qu’à l’arrière,lunette carrera, les positionner en conséquence sur le champ de bataille sera également judicieux.

CCCP vs Rest of the worldDéjà doté d’un gameplay bien aiguisé, World in Conflict jouit également d’une plastique peu commune,lunette oakley pas cher. Niveau de détails bluffant, lumières bien diffuses, effets de fumée réalistes, modélisations excellentes, cartes plutôt vastes à apprécier en caméra libre. Les éloges ne tarissent pas sur le moteur du jeu, qui par ailleurs, est compatible DirectX 9 et 10. Si une machine de guerre est nécessaire pour jouer avec un maximum d’options graphiques activées (et il y en a une tripotée), on pourra malgré tout aussi jouer dans des conditions acceptables sur des PC plus anciens, pour peu que l’on ne soit pas trop regardant sur les textures évidemment. Expérience réalisée avec une bécane équipée d’un processeur de 2 GHz,Test World in Conflict, 1 Go de RAM et une GeForce 6800 GT alors que nos captures et vidéos sont,ray ban pas cher, elles, effectuées sur une machine beaucoup plus récente et en DirectX 10 s’il vous plaît. Pour continuer sur les caractéristiques visuelles de World in Conflict, on ne peut passer à côté de ses décors entièrement destructibles, les poteaux électriques cédant sous le passage des tanks ou encore les bâtiments explosant sous les bombes. Côté moteur physique, les hélicos tombent comme il faut en percutant d’abord le toit d’une maison puis finissant leur course au sol après quelques roquettes dans le mille. Des effets météo viennent également parfois en remettre une couche, mais ils ne changent en revanche pas nos habitudes de jeu. Optimisé pour le double écran (avec l’action d’un côté et la mégamap de l’autre), le STR de Massive propose en outre une interface sobre et globalement bien fonctionnelle. Oh, il y a toujours quelques petites choses à redire comme une utilisation des boutons de la souris (droit pour les déplacements et les ordres d’attaques, mais gauche pour les compétences spéciales) parfois confuse une fois dans le feu de l’action et l’impossibilité de soigner ses unités depuis le petit menu en bas de l’écran. adverse et alliée ne semble pas non plus toujours briller de mille feux, mais rien de très grave. Enfin, il faut saluer des effets sonores particulièrement réussis, qui confèrent également à World in Conflict cette excellente ambiance. Chapeau bas.

Si la campagne solo de World in Conflict se termine trop rapidement, son multijoueur bien étoffé nous fera oublier cette petite mésaventure. Ici, jusqu’à seize joueurs peuvent s’affronter en mode Domination (comparable à Battlefield, où il faut contrôler des points d’une carte), Assaut (en deux manches, avec une équipe défendant pendant que l’autre attaque puis inversement) ou bien Lutte Sans Merci (faire déplacer une ligne de front en capturant tous ses points en même temps). Il existe également un quatrième mode de jeu, baptisé Peu de Joueurs. Ce dernier offre, quant à lui, des combats en un contre un ou deux contre deux, et sans choix de rôle au départ. Pour les trois autres précédemment cités, il faudra opter pour l’infanterie (fragile à découvert mais terriblement efficace dans les cartes boisées ou avec des bâtiments), les blindés (lents mais puissants et utiles pour capturer les points de contrôle), l’aviation (rapide mais difficile à maîtriser à cause de la DCA) ou bien le soutien (probablement le plus simple à prendre en main au début), un choix qu’il sera tout à fait possible de modifier en cours de partie, tout comme celui de son camp (les combats impliquant seulement l’URSS contre les Etats-Unis ou l’OTAN). A noter qu’en dirigeant un bataillon d’infanterie, on pourra toujours accéder à quelques unités correspondant à la section “blindé” mais pour un prix assez ahurissant. On dépendra donc d’une façon ou d’une autre de ses compatriotes,Test World in Conflict, avec qui il faudra s’entendre au mieux pour se protéger convenablement des attaques au sol en tant que “soutien” par exemple. Pour faciliter les échanges, World in Conflict possède d’ailleurs un système de VOIP intégré, en plus du traditionnel chat bien évidemment. Lorsque la coopération fonctionne, les parties révèlent en tout cas un véritable aspect stratégique et remplace les assauts désorganisés où chacun envoie tour à tour ses unités au casse-pipe. Bien complet, le multijoueur de World in Conflict comporte également un système de classement des joueurs, qui se distingueront au cours des parties en gagnant des points d’expérience et des médailles. Une liste d’amis et le support des clans complètent ce mode, qui prolonge définitivement la durée de vie du titre. Un bon point supplémentaire.

Eclatant et intense, voilà deux adjectifs qui siéent à merveille à World in Conflict, le nouveau STR de Massive. Si on peut lui reprocher une campagne solo un peu courte et une richesse de jeu en deçà de nos espérances – notamment à cause des trois factions quasi identiques -, il brille en revanche par un gameplay solide et maîtrisé sur toute sa longueur, qui révélera tout son potentiel en multijoueur. Pour ne rien gâcher, il offre un véritable spectacle pour les yeux, réservé toutefois aux possesseurs de machines de guerre, même si une majorité pourra quand même goûter aux joies de cette Troisième Guerre mondiale dans de bonnes conditions. World in Conflict ou un après-Ground Control négocié avec un certain brio, en tout cas.

articles connexes:

http://faceparti.net/forum.php?mod=viewthread&tid=3926119

http://www.dontgiftme.com/node/219176

http://www.selong.org/forum.php?mod=viewthread&tid=1806972

http://frcarrerapascher.webs.com

http://lunettesraybandiscount.webs.com/

This entry was posted in News and tagged , , . Bookmark the permalink.

Leave a Reply