Un avant-gardisme qui semble,abercrombie discount, avec le recul, leur avoir coûté cher,abercrombie femme.
Écosse, 1978Autour de Jim Kerr, jeune musicien de 19 ans, se forme en 1978 ce qui sera pendant plus d dizaine d l des groupes les plus novateurs que le Royaume-Uni ait connus.
En effet,abercrombie, Jim,abercrombie pas cher, Charlie Burchill,abercrombie homme, Tony Donald, Mick McNeil et Brian Mc Gee, rentrent d dans l de la musique en publiant en avril 1979, chez Zoom, petit label indépendant et filiale d un album résolument rock intitulé Life in a Day.
Issus pour la plupart de la mouvance punk,abercrombie and fitch, les musiciens de Simple Minds produisent cependant un son original,abercrombie pas cher, pour lequel les guitares saturées côtoient les synthétiseurs et la voix envoûtante de son leader Jim Kerr.
Encouragés par le succès de ce premier opus (il atteint la trentième place au Top 50 britannique),toms shoes outlet, les cinq amis surprennent tout le monde en sortant un deuxième album expérimental: Real To Real Cacophony.
Ce disque, au titre surprenant, mélange allégrement synthétiseurs, boîtes à rythme et sons industriels à la manière des Einsturzende Neubauten. Évidemment,abercrombie pas cher, personne n réellement à Real to real Ce n cependant pas un échec pour Kerr et sa bande, qui sont convaincus,abercrombie, dès le début de leur carrière,discount toms shoes, que l et l permettent la quête idéale d style unique et durable,abercrombie.
I TravelLoin de tomber dans les tréfonds de l les Simple Minds récidivent fin 1980 avec un troisième album, Empires and Dance, dont le titre phare I Travel,abercrombie, prouesse technique et musicale, s dans les programmations des boîtes de nuit branchées de toute l avance sur le temps,abercrombie and fitch soldes, le groupe produit un son nouveau qui ne laisse pas indifférent. De plus, leur performance scénique fait parler d et incite Peter Gabriel à les inviter en première partie de sa tournée mondiale,abercrombie pas cher.
La signature sur le label Virgin débute en fanfare avec la sortie simultanée de deux albums Sons and Fascination et Sister Feeling Call en 1982. Portés par le tube Love Song, ces deux albums permettent aux simples d de devenir réellement populaires dans toute l présence dans les meilleures ventes devient une habitude, et leur musique s trouve par là-même plus abordable,abercrombie. C aussi le début des remaniements internes: Kenny Hyslop remplace Brian Mc Gee au sein du groupe,abercrombie pas cher, qui, au fil des années et des succès, subira de nombreuses modifications,cheap toms shoes. Seul Jim Kerr et Charlie Burchill resteront fidèles au groupe qu auront créé,abercrombie pas cher.
Ces chamboulements n pas la puissance créatrice des Ecossais qui, avec New Gold Dream en 1984,abercrombie and fitch, s le luxe d la troisième place des charts anglais et de provoquer une véritable hystérie collective en Australie,abercrombie.
Fanatisme populaireDésormais numéro un en Angleterre grâce à la qualité de titres tels que Waterfront, Speed Your Love To Me ou Big Sleep, Simple Minds entame des tournées internationales dignes des plus grands.
La gloire aura raison de la vie privée des membres du groupe. Si Jim Kerr croit par exemple trouver le bonheur avec Chrissie Hynde, la chanteuse des The Pretenders, leur relation ne durera pas, usée par les tournées respectives de ces deux géants du rock.
Après le vieux continent et l le groupe s aux États-Unis avec succès. Don You (Forget About Me), bande originale du film The Breakfeast Club, est rapidement numéro un aux USA. Ce titre devient emblématique du style Simple Minds, alliant avec brio une mélodie à toute épreuve et une orchestration rock-pop très dansante.
Le sommet de la carrière du groupe est incontestablement atteint avec la sortie en 1985 du très attendu Once Upon a Time, album qui se placera premier dans de nombreux charts européens et internationaux. Les Ecossais atteignent la perfection esthétique et musicale. Alive and Kicking, Once Upon a Time ou encore All Things She Said explosent aux hit-parades.
Amnesty et MandelaJim Kerr et ses compatriotes usent intelligemment de leur médiatisation. On les voit fréquemment donnant des concerts au profit d International ou luttant contre l en Afrique du Sud au côté de Nelson Mandela.
Peut-être plus concernés par l mondiale et la misère, le rythme de production devient plus lent.
Il faut attendre mi-1989 pour se délecter de Street Fighting Years, un album qui se fait l de l humanitaire du groupe: Mandela Day et Belfast Child, traitant respectivement de l et de la guerre en Irlande du Nord, sont les deux titres phares de cet album, que d considèrent comme le dernier grand opus du groupe.
En effet, peu à peu, le succès des Simple Minds se tarit et les séparations et désaccords au sein du groupe précipitent leur chute. Les uns après les autres, les membres quittent Simple Minds, laissant seuls les deux leaders charismatiques que sont Jim et Charlie.
Real Life tente de sauver les apparences, mais il semble bien que, à l de l 1992, les Ecossais soient bel et bien en train de mourir.
La compilation Glittering Prize, sortie cette même année 92, laisse un goût amer de sauvetage commercial, tout en permettant aux fans de la première heure et au public en général de se remémorer quelques-uns uns des plus grands succès du groupe.
Le déclinEn épousant la comédienne Patsie Kensit en 1992, Jim Kerr cherche à refaire surface. Les thèmes qu aborde désormais dans ses créations sont plus intimes et personnels qu composition restreinte du groupe, le temps de production de chacun des albums (deux fois moins dans les années 90 que dans les années 80), le silence médiatique et scénique (cependant tout relatif) qui s peu à peu, tout porte à croire qu parenthèse s réellement ouverte dans l des Ecossais.
La qualité de leurs titres ne s trouve pas amoindrie, même si le public n plus aussi présent qu la grande époque de Once Upon a Time. Simple Minds est rentré dans l du rock et continue en toute humilité sa traversée du désert. Good News From The Next World, Néapolis et maintenant Cry, sèment en l de presque dix ans, quelques joyaux dont les complices Kerr-Burchill sont maîtres.
Après avoir dominé sans faux pas les années 1980 de bout en bout, les Simple Minds ont subi un déclin sensible de leur notoriété et de leur production musicale. Affaiblis tout d par les séparations à l du groupe, puis victimes ensuite malgré eux de l succès qu ont provoqué à travers le monde, Jim Kerr et ses amis continuent une carrière musicale de grande qualité, toujours à l des courants musicaux contemporains. Jamais dépassés, parfois oubliés, mais toujours symboles d grande époque musicale, les Simple Minds survivent et renaissent encore de leurs cendres à chaque nouvel album.
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