les rires provocateurshttp://sacchanel1webnodecom/

http://sacchanel5.webnode.fr/Marguerite est par le soleil au-dessus du ch de la cour pav T le matin,lunettes chanel, le ciel est clair,chanel pas cher. Elle ferme les yeux et l les poulets qui s’enfuient. Elle entend le rire de l’homme: “Ils sont libres, ils sont contents,Lunettes Louis Vuitton.”

Le Marocain fouille dans les poches de son pantalon de travail,chanel sacs à main, en sort un canif qu’il lui demande d’ouvrir,bijoux chanel pas cher. La lame est longue et effil Il marche grands pas,Lunettes Louis Vuitton, les poulets dans une main,Chaussures Louis Vuitton, le canif dans l’autre,Louis Vuitton Pas Cher, vers un arbre de l’autre c des hangars,lunettes chanel. Personne n’est encore r C’est dimanche. Elle reste derri l’homme qui se penche vers la terre,lunettes chanel,Le Sebbar Marguerite. Elle ne voit pas ce qu’il fait, seulement le sang qui coule,sac chanel pas cher, aussit absorb Il pose le poulet sur l’herbe qui rougit l’endroit du cou, prend l’autre,sac chanel, se penche nouveau au pied de l’arbre et le sang coule. Il essuie la lame du canif sur l’herbe pr des poulets couch c c : “Voil c’est fini.”

Il plie le canif le met dans sa poche,sac chanel pas cher, prend les poulets par les pattes et marche en avant vers la ferme,chanel pas cher. Elle le suit. Des gouttes de sang tachent l’herbe et le chemin, les t des poulets tiennent encore au cou tranch rouge, et remuent au rythme des pas de l’homme.

Le beau-p assis sur une chaise en fer qu’on laisse rouiller la pluie,Chaussures Louis Vuitton, comme la vieille table ronde,Chaussures Louis Vuitton, des haricots. Il voit arriver l’homme qui tient les poulets et Marguerite : “Tu aurais pu m’attendre,chaussures pas cher, je l’aurais fait,chanel pas cher. Je me suis lev juste apr toi. Je t’ai vue marcher avec ces poulets, j’ai pas compris ce que tu voulais en faire. Je vais les plumer, les enfants continueront les haricots.”

Il invite l’ouvrier agricole prendre un caf dehors,Louis Vuitton Pas Cher, il fait frais, le soleil est encore doux,Sacs Louis Vuitton. C’est lui qui a pr le caf Marguerite s’occupe du petit d des enfants et de Simon. Le beau-p ne l’a pas invit s’asseoir avec eux. De la cuisine, elle les entend parler,sac chanel pas cher, elle a ouvert la petite fen qui donne sur la tonnelle de vigne sauvage,Lunettes Louis Vuitton. Le Marocain roule les “r”. Il bavarde,Sacs Louis Vuitton, sa voix est sonore et rude. Simon va l’entendre, de la chambre au premier s’il ouvre les volets sur cette fa de la maison. Il sera de mauvaise humeur jusqu’au lendemain, ou il s’en ira la ville, dans la nuit. Pourtant le saisonnier ne parle pas en arabe,sac chanel. Tous les jours, Simon demande son p quand prend fin le travail des ouvriers,Louis Vuitton Pas Cher. Il r chaque fois que tout d du temps. S’il fait encore beau,Sacs Louis Vuitton, ils n’en ont plus que pour cinq jours, sinon huit ou dix jours.

pp,sac chanel. 35-36

Le saisonnier marocain parle de l’odeur des fleurs quand elles commencent s’ouvrir, de l’eau de fleur d’oranger que les femmes mettent dans les g de la sieste l’ombre des arbres, des fruits qu’il faut surveiller; du moment o on engage des enfants, gar et filles, des hommes et des femmes pour cueillir les oranges dans les grands paniers d’osier qu’on a remplac par des cageots. Les femmes travaillent d’un c les hommes de l’autre, des vieilles surveillent. Comme ils mangent ensemble la pause, les hommes et les femmes part, mais au m endroit, les vieilles n’emp pas les bavardages bruyants et indiscrets, les rires provocateurs, les histoires grivoises. Les femmes, pour aller chercher l’eau au puits dans l’orangeraie, passent devant le groupe des hommes, prot par les enfants qui crient autour d’elles. Les ouvriers font semblant de ne pas les regarder, les femmes aussi, mais ils savent voir tout, sans impudiques, et les femmes se racontent les saisonniers, les plus jeunes, les plus beaux, cherchant savoir d’o ils viennent. Les saisonni qui travaillent ainsi ne sont pas voil Des foulards couvrent leurs cheveux et elles portent des sortes de blouses longues par-dessus les robes fleurs ou rayures.

pp. 57-58

Seule, elle ne s’est jamais aventur dans un caf Avec Simon et les enfants, parfois, le dimanche, quand il avait gagn une petite somme au tierc il offrait des Cocas et des glaces, les enfants heureux. Elle prenait une menthe l’eau, et Simon plusieurs demis. Ils venaient au Caf de France. Le Coca-Cola a une couleur de caramel, il p dans le verre haut. Elle le fait couler lentement sur la tranche de citron. Les enfants r des pailles, ils disaient que c’ pour s les bulles.http://sacvuitton2013.webs.com/

Related articles:

http://aigouing.com/plus/view.php?aid=10639

http://ningsonglf12.dbh1.com/2013/05/06/and-steel-strips-and-plates-to-the-hingeshttpsacchanel1webnodecom/

This entry was posted in News and tagged , . Bookmark the permalink.

Leave a Reply