RKEY,http://homme.frpoloralphlauren2013.com™,RKEYL’image physique formée au fond de l’oeil sur la rétine,polo ralph lauren pas cher, analysée point par point, est transmise fidélement au cerveau sous forme de messages codés,polo ralph lauren. Ceci est en principe pareil pour tous,polo ralph lauren pas cher.
Mais ce sont les zones visuelles du cerveau qui analysent ces signaux et nous donnent une représentation de l’objet perçu,polo ralph lauren pas cher.
L’interprétation qu’en fait le cerveau peut parfois être ambiguë,ralph lauren enfant. Ces “erreurs” d’interprétation sont des illusions d’optique,ralph lauren pas cher, qui ne sont pas perçues de la même façon par chacun d’entre nous (nous n’avons pas tous le même “vécu”,ralph lauren pas cher, ni les mêmes images en mémoire),ralph lauren soldes.
Les illusions sont les témoins des mécanismes de la vision,ralph lauren home. Elles confirment que notre perception du monde est assez éloignée de la photographie,polo ralph lauren. Elle est le résultat :
– d’une stimulation des photorécepteurs rétiniens,polo ralph lauren, qui peuvent subir des phénomènes de fatigue,ralph lauren pas cher.
– et surtout d’une construction mentale,polo ralph lauren en soldes, à partir des messages nerveux reçus,polo ralph lauren pas cher, parfois erronés,ralph lauren pas cher. Le cerveau cherche à mettre du sens partout,ralph lauren, même là où il n’y en a pas,polo ralph lauren pas cher. Alors,polo ralph lauren, il en fait trop, amplifiant les contrastes, créant contours, couleurs, perspectives, reliefs, mouvements, en fonction de ce qu’il connaît. En effet, malgré une organisation générale commune du cortex visuel, les apprentissages et le vécu diffèrent d’une personne à l’autre, d’où une sensibilité variable à certaines illusions.
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