2013,http://oakleylunettespascher.webs.com/Jusqu’au 31 juillet,lunettes de soleil carrera pas cher, le musée réunit cent sculptures, une vingtaine de céramiques, une vingtaine d’oeuvres sur papier et une peinture. La majeure partie provient de la collection de la Fondation Maeght,soldes sac.
On y fait de drôles de rencontres. Une jeune fille chapeautée d’un robinet et dotée de longues jambes rouges de mannequin semble prête à s’évader – on est en 1968,sacs longchamp pas cher. Coiffés de la lune et de la terre, deux tabourets dont l’un est posé à l’envers,oakley ski, sont comme “Homme et femme dans la nuit” (1969). Une chaise renversée, dont les pieds se terminent par des embauchoirs s’est transformée en “Femmes et oiseaux” (1973) par la magie d’un assemblage plus réfléchi qu’il n’en a l’air,ray ban pas cher.
Au musée Maillol,lunette oakley, les oeuvres présentées sont celles de la deuxième partie de la vie de Miro,carrera lunettes, marquée notamment par sa rencontre en 1946 avec Aimé Maeght qui ouvre sa galerie cette année-là.
“Une histoire fusionnelle”,La poésie des sculptures de Miro au musée Maillol à Paris, selon Isabelle Maeght,carrera lunettes, petite-fille du galeriste, qui assure le commissariat de l’exposition. “Aimé Maeght préparait à l’époque l’exposition sur le surréalisme organisée par André Breton à la galerie en 1947”, raconte-t-elle,lunette carrera.
L’entente est immédiate entre l’artiste et le marchand d’art. “Tous les deux étaient visionnaires et d’une modernité fantastique”,ray ban lunettes, souligne la commissaire,ray ban pas cher. Dès 1948,oakley pas cher, Miro présente une exposition personnelle à la galerie Maeght qui devient son marchand exclusif.
Dans l’entre-deux-guerres,lunette oakley, Miro, ami des surréalistes, avait déjà réalisé des sculptures-objets,lunette carrera, à partir d’assemblages. Mais il devient véritablement sculpteur en 1944. Il se tourne vers le bronze, dont il apprécie la palette des différentes patines,carrera lunettes site officiel.
Miro glane -“pour moi un objet c’est vivant,sacs pas cher, dit-il- et métamorphose ses trouvailles en oeuvres,oakley gascan.
“Je ne fais qu’assembler ce que je trouve,achat ray ban pas cher, je rassemble,ray ban lunettes, j’assemble tout cela dans mon atelier qui est très vaste,oakley pas cher. Je dispose les objets sur le sol puis je choisis celui-ci ou celui-là, je combine différents objets et parfois je réutilise des éléments d’autres sculptures”, écrit-il.
Isabelle Maeght se souvient de ses promenades avec Miro, qui passait chaque année un mois dans la maison familiale de Saint-Paul de Vence: c’était “comme un grand-oncle” pour elle. “Il m’a appris à regarder,lunette ray ban boutique. A voir la beauté d’un galet,sacs moins cher, d’une feuille. A m’émerveiller devant la lune, le reflet du soleil”, dit-elle.
Les titres de ses oeuvres sont souvent poétiques (“L’horloge du vent”), parfois un peu moqueurs (“Les trois cheveux magnétiques de la belle blonde attirent les papillons”). Ou très simples, comme “Tête”, “Personnage”.
Femme, oiseau, lune et constellations sont des sources infinies d’inspiration pour Miro, épris d’espace. Certaines de ses oeuvres sont également très sensuelles et érotiques.
Avec Fernand Léger et Georges Braque, Joan Miro participe activement à la naissance de la Fondation Marguerite et Aimé Maeght à Saint-Paul de Vence, qui voit le jour en 1964. Ils voulaient un lieu moderne, de lumière, pour y exposer.
Miro y crée “Le labyrinthe”, un jardin de sculptures composé d’une vingtaine d’oeuvres.
Les collections de la Fondation sont riches d’environ 2.000 oeuvres de Miro (sculptures, gravures, céramiques,La poésie des sculptures de Miro au musée Maillol à Paris, peintures, gouaches, livres, maquettes).
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