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polo ralph lauren,http://ralphlaurenfemme.webs.com/,polo ralph lauren pas cherArte,polo ralph lauren pas cher,sfc-tsubasale 22 mai 2007 18h05,http://ralphlauren, 13 août 2004, journal de 19h45. Nathalie Georges présente le référendum révocatoire qui soit se tenir le 15 août au Venezuela : Dans deux jours le Venezuela devra décider du sort de son Président. Partira ,ralph lauren pas cher? Partira pas ? Les électeurs diront si oui ou non,polo ralph lauren homme, ils veulent révoquer Hugo Chavez. L est important. après une évocation très partielle (et partiale) des mobilisations des anti- et des pro- Chavez [1], la présentatrice annonce une mise en perspective (dont on trouvera la citation sonore ci-dessous) : Comment en est-on arrivé là ? Le rappel des faits avec Esther-Marie Merz rappel (1 minutes, 50 secondes) . sera bref : un condensé haut de gamme d et/ou de malveillance,ralph lauren soldes, d approximatives et de falsifications manifestes. En trois étapes.

C en 1998 qu Chavez emménage au Palais présidentiel de Miraflores, élu à une écrasante majorité. Quelques années plus tôt,abbigliamento online, l sous-officier avait tenté de s du pouvoir par un coup d Ce fut un échec,polo ralph lauren,Pelez l’oignon et taillez-le en petites lamelles.,http://ralphlaurenfemme.webs.c. rappel factuel n apparemment aucun commentaire. Mais, comme on le verra plus loin,ralph lauren pas cher, le coup d de l en avril 2002,polo ralph lauren, pour notre journaliste, ne mérite même pas cette appellation,polo ralph lauren. Et,polo ralph lauren, par un étonnant raccourci,polo ralph lauren, peut-être dû à la nécessité de faire bref nous avons droit à un étonnant enchaînement du coup d de 1992 au soutien populaire de 1998 :

Quelques années plus tôt, l sous-officier avait tenté de s du pouvoir par un coup d Ce fut un échec. Mais depuis,polo ralph lauren pas cher,désinformation haut de gamme sur Arte, pour les vénézuéliens les plus pauvres, il est le sauveur : celui qui va mettre fin à la crise économique et à la corruption du 5ème pays producteur mondial de pétrole. sauveur ? Le terme comporte une forte charge péjorative,ralph lauren pas cher. Mais les espérances des plus pauvres n sans doute pas la rationalité que l est en droit de prêter aux autres. Etonnantes espérances d qui ne portent que sur la crise économique et la corruption,ralph lauren pas cher, et non sur la misère et les inégalités. Encore la nécessité de faire court ?

Bilan des espérances des plus pauvres ,polo ralph lauren pas cher? Dans les phrases suivantes :

Mais sur ce plan précisément les années Chavez ne changent pas la donne,polo ralph lauren pas cher. Au contraire. Les investisseurs étrangers boudent le Venezuela. L et le chômage augmentent avec mesure : c . incomplet. Pas un mot sur la production et les cours du pétrole,ralph lauren moins cher, pourtant décisifs pour l vénézuélienne. Pas un mot sur la nouvelle Constitution et les décrets-lois engageant des réformes sociales qui pourtant entretiennent le soutien populaire et . provoquent l de l et des classes moyennes,polo ralph lauren. Encore la nécessité de faire court ,polo ralph lauren?

Pas seulement, car cet enchaînement est une véritable interprétation : [.] les années Chavez ne changent pas la donne,ralph lauren. Au contraire,ralph lauren pas cher.[,polo ralph lauren pas cher.] Résultat : les classes moyennes se détournent d Chavez pour rejoindre l le pire est encore à venir. Le voici.

Le 11 avril 2002, des centaines de milliers d marchent sur le Palais présidentiel. Sur ordre du Président,ralph lauren pas cher, la police tire . Bilan : 17 morts et des centaines de blessés,polo ralph lauren pas cher. Chavez consent à quitter le Palais Miraflores,conform l L815-13 du code de la s sociale.,http://ralphlaurenfemme.webs.com/,polo ralph lauren homme. Mais 48 heures plus tard , il est de retour . [souligné par nous]

Cette version à la fois scandaleuse et grotesque est très exactement celle de l ou,pull ralph lauren, plus exactement, la version d partie de l tellement elle est outrancière,polo ralph lauren big pony.

Même Reporters sans frontières (qui, en raison son hostilité au gouvernement Chavez, multiplie les contorsions) n pas dissimuler complètement la vérité. Dans un rapport rendu public le 10 avril 2003 sous le titre Entre autoritarisme du Président et intolérance des médias RSF écrit :

Le 11 avril 2002, l en est à son troisième jour de grève générale. Des centaines de milliers de personnes défilent dans la rue. Alors que le cortège décide de se diriger vers le palais présidentiel, des tirs éclatent dans la plus grande confusion provoquant la mort de vingt personnes et faisant plus de quatre-vingts blessés. Une fraction de l annonce alors son ralliement à l et, dans la soirée, le Président est déposé . Pedro Carmona, président de Fedecámaras, l des chefs d est nommé à la tête du gouvernement de facto et annonce bientôt la dissolution de l législative et de la Cour suprême. Mais, dans la nuit du 13 au 14 avril, grâce à l de forces loyalistes et après des manifestations réclamant son retour, Hugo Chavez revient au palais présidentiel . (souligné par nous)

La journaliste d elle, sait que sur ordre du Président,désinformation haut de gamme sur Arte, la police tire que Chavez consent à quitter le Palais Miraflores et que, par magie, 48 heures plus tard, il est de retour [2]

Et pour couronner le tout, on entend – illustration visuelle et sonore évidemmment ridicule en l du contexte – Chavez proclamer avec un grand sourire : Je suis et je reste le roi ce morceau de bravoure journalistique, tout le reste est peccadilles.

L n pas. En 2002, elle lance une grande grève dans le secteur pétrolier [dans le but d par une grève politique la démission de Chavez]. Puis en 2004, elle mise sur le référendum récemment inscrit dans la Constitution [à l du gouvernement]. Après plusieurs mois de confrontation [???], elle parvient à rassembler les 20% de signatures nécessaires. Début juin, Hugo Chavez crée la surprise : il accepte le référendum. c une surprise que Chavez respecte la Contitution qu a lui-même contribué à faire adopter !] fin est nettement plus apaisée : Le 15 août, les vénézuéliens choisiront de révoquer ou non leur Président. Tout est possible désormais. Mais Hugo Chavez se dit confiant. L aime se comparer à son célèbre prédécesseur, Simon Bolivar, qui au début du 19ème siècle avait donné au Venezuela son indépendance indique la journaliste avant de laisser Chavez expliquer qu Il faut rendre au peuple ce qui appartient au peuple dernière illustration sonore que l peut interpréter comme un éloge du respect par Chavez des normes fondamentales de la démocratie.

Pour écouter, cette minute 50 d complexes :

Notes[1] Pour la journaliste, en effet, Dans le centre de Caracas, des centaines de milliers de personnes ont manifesté en faveur du oui au départ du président Chavez tandis que le président lui, a retrouvé ses partisans – ceux qui veulent le voir rester au pouvoir, pour un dernier discours destiné à mobiliser les électeurs. D côté, des centaines de milliers de personnes, de l uniquement les partisans et une ultime tentative pour les mobiliser. Le peuple contre des militants politiques. A cette partition de la légitimité démocratique et des forces répond le contraste des images. D côté une manifestation populaire illustrée par des images d foule s à perte de vue, de l un meeting très institutionnel avec une scène ,le discours de Chavez et l de deux militaires manifestant leur soutien.

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