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oakley pas cherhttp://gascan.lunettevip.com/lunette oakley pas cher Des divinités de la fertilité aux poupée-femmes en ommettant sciemment l’infame poupée barbie

A travers le temps,lunette oakley, les cultures et les civilisations, on retrouve ces figurines,lunette oakley, sculptures, peintures et gravures représentant des figures féminines stéatopyges*,oakley, obéses ou tout simplement opulentes.

L’homme primitif,lunette oakley, qui a perçu les mystères de la vie physiologique de la femme comme les manifestations d’un pouvoir divin,oakley pas cher, a établi un rapport naturel entre la fertilité du sol et la fécondité féminine, y associant quelque fois même les éléments naturels et de vagues notions d’une météorologie naissante.

De nos jours encore l’homme utilise des expressions “agraires” lorsqu’il parle de reproduction ou plus crument du sexe d’une femme.

1 – Des Vénus stéatopyges* aux idoles égéennes:

Nous ignorons l’usage de la représentation féminine,oakley pas cher, sculptée au Paléolithique supérieur, en ronde bosse,oakley pas cher, découverte en 1922 près de Lespugue (France) et dont la signification se perd dans la nuit des temps. Il est toutefois possible qu’il s’agisse d’une idole de la fécondité, rôle dévolu à la Vénus de Laussel ainsi qu’à la Vénus de Willendorf, qui remontent toutes deux à l’Aurignacien supérieur (-33000 ans). précurseurs). La même remarque s’impose en ce qui concerne les idoles nues de la fin du Paléolithique, trouvées dans les tombes en Crète minoenne, qui peuvent être reconnues comme des déesses de la fécondité mystérieusement chargées de veiller sur le mort, comme une figure maternelle bienveillante et omnipotente.

Par ailleurs, d’autres idoles,lunette oakley, vêtues d’une sorte de jupe,lunette oakley, la poitrine nue, les bras levés, apparaissant dans des sanctuaires plutôt que dans des nécropoles, confirment le rôle essentiel joué par la femme dans le rituel des religions égéennes.

A l’époque préhistorique, avant que les Iraniens n’aient pénétré en l’actuel Iran, de nombreuses figurines féminines ont été sculptées qui peuvent s’interpréter comme étant elles aussi des déesses de la fécondité. Elles reproduisent le modéle d’une femme nue se pressant les seins,oakley. Sans doute avons-nous affaire içi à une déesse qui, plus tard, sera vénérée en Babylonie sous le nom de Nana, et en Elam sous celui de Nahunte, déesse à laquelle les Iraniens rendront un culte en l’appelant Anâhita (l’Immaculée).

2 – Les déesses de la Terre mère.

Dans la religion grecque, aux époques archaïque et classique, c’est Déméter (Isis en Egypte,oakley pas cher, Cybéle en Asie Mineure, Astarté en Syrie et en Phénicie et Tanit à Carthage) qui représente par excellence la déesse de la Terre mère,oakley pas cher. L’un de ses surnoms,oakley pas cher, ” Karpophoros” (celle qui porte le fruit), montre assez l’importance de cette déesse de la glèbe dont la légende assure qu’elle s’est unie à Jason dans un champ labouré (ndla:encore une métaphore agraire) pour engendrer Ploutos, le dieu de la Richesse.

Chez les Romains,femmes en ommettant sciemment l’infame poupée barbie, Junon, parce qu’elle est déesse de la Lumière,lunette oakley pas cher, exerce aussi, par dérivation, de grands pouvoirs sur l’enfantement et, sous le nom de Caprotina, n’est rien d’autre qu’une déesse de la Fécondité.

Les trois grands dieux des Celtes,lunette oakley, Brian (gaulois Brenos), Luchar et Lucharba,femmes en ommettant sciemment l’infame poupée barbie, sont nés,lunette oakley pas cher, selon la légende irlandaise, de la “triple Brigite”,oakley, qui porte également les noms de Dana et Ana,lunette oakley pas cher. Selon les rites celtiques, Dana est simultanément vierge et mère, cumulant les fonctions de Junon (épouse) et de Minerve (vierge) à Rome. Très rapidement, le christianisme a fait d’elle une sainte, patronne de l’Irlande avec saint Patrick.

En Gaule, au temps de César, quatre divinités masculines sont connues, équilibrées par une seule mais importante divinité féminine. Cette dernière répond à de multiples noms, indépendants ou composés à partir de la position complémentaire qu’elle occupe auprès d’une des divinités masculines: Sirona, Nantosuelta (“rivière ondulante”), Epona, Arduinna ” la haute”, déesse éponyme des Ardennes, et surtout Matrés déesse de la fertilité etc.

3 – De l’Asie orientale à l’Afrique noire.

On reconnait dans les mythes,femmes en ommettant sciemment l’infame poupée barbie, les théologies et les rites qui entourent le culte de la déesse Umâ, Pârvatî, Kâlî ou Kumarî, une “religion de la Mère” qui s’étendait jadis sur une aire égéo-afro-asiatique très vaste. Quand à Kouan-yin, la “Dame qui apporte des enfants”, elle fut, en Chine, la plus populaire déesse bouddhique de la Fécondité.

Mais nulle part mieux qu’en Afrique noire, la mentalité primitive n’a enraciné, perpétué, dans les aspects de sa culture, le rapport magique établi entre fertilité du sol et sexualité. s1était constitué l’empire Koushite dans le bassin du Nil moyen au sud de l’Egypte. A partir du 3éme siècle av. Koush est dirigé par des reines: les Candaces. La nature même de l’état Koushite a permis à un certain moment donné l’accession de la femme au pouvoir suprême.

5 – Les “poupées-femmes” des enfants des tribus nomades et sédentaires d’Afrique du Nord et du Sahara.

La plupart des poupées-femmes représentent des jeunes mariées. Faites d’os, de branchages ou crottes d’animaux, elles sont soigneusement ornées de parures tribales féminines. Ces poupées-femmes servent à des jeux qui imitent la vie des adultes.

Bien que la forme des poupées-femmes reste assez simple, certains détails peuvent être mis en relief, comme par exemple pour les seins, les fesses et la tête. Le plus souvent il s’agit d’une représentation réaliste d’une femme généralement opulente, et plus spécifiquement chez les Touareg les fesses des poupées sont elles très developpées, ceci étant une marque d’aisance, de beauté et de fertilité.

Sans aller jusqu’à évoquer une forme de culte lié à ces poupées-femmes, il est important de noter quand même un fétichisme apparent dans certaines tribus. En effet les filles ghrib peuvent fabriquer leurs poupées en tout temps contrairement aux filles sédentaires de Tabelbala au Sahara Algérien, qui ne peuvent faire des poupées que durant le printemps et l’automne, parce que cela provoquerait la pluie pendant les autres saisons.

* stéatopyge: adj. (1842; de stéato-, et -pyge “fesse”). Didact. Dont le tissu adipeux est très développé au niveau des fesses; qui a de très grosses fesses. “Son corset descendant très bas, selon la mode, la faisait paraître stéatopyge” (Apollinaire) La Vénus Hottentote est stéatopyge. (Petit Robert)

“Tu es de race stéatopyge si, et seulement si, le périmètre horizontal de ton postérieur dépasse 791 millimètres. La stéatopygie est un caractère racial révélé par Cuvier et Montandon, des naturalistes célèbres et réputés.”

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