2013,http://oakleylunettespascher.webs.com/Au début de l’ascension du Front national,ray ban pas cher,Le Diable de la République, au milieu des années 80,sacs moins cher, beaucoup doutaient de la pérennité de l’extrême droite française : le FN n’était souvent considéré que comme le symptôme d’une crise démocratique passagère,oakley pas cher. La crise a duré,sacs pas cher, le FN est devenu la troisième force politique du pays,carrera lunettes. Comment expliquer cette progression continue et cette longévité,lunette oakley, inédite pour un parti d’extrême droite ,ray ban lunettes?
L’enquête de Grégoire Kauffmann,carrera 2013, Emmanuel Blanchard et Jean-Charles Deniau,sacs burberry pas cher, Le Diable de la République,lunette oakley, 40 ans de Front national,lunette carrera, creuse le mystère de cette aporie démocratique,lunette de vue oakley, en faisant le récit circonstancié de son évolution,carrera lunettes. La force du documentaire tient moins à ses révélations fracassantes qu’à la densification pédagogique de l’histoire du parti,ray ban pas cher, nourrie d’images d’archives édifiantes et de témoignages d’hommes clés de l’épopée du FN : Pierre Vial,oakley pas cher, Pierre Ceyrac. Les visages moins connus de cette extrême droite française sont aussi la marque d’un parti dominé d’une main de fer par Jean-Marie Le Pen, dont le charisme mais aussi les circonstances dont il a toujours su tirer parti ont permis l’ascension.
Dès la création en 1972 du Front par les fachos d’Ordre nouveau, Le Pen rassemble autour de lui les parties disséminées de l’extrême droite française. Son éminence grise, François Duprat, le pousse dès la fin des années 70 à relier chômage et immigration : le slogan “la France aux Français” devient un leitmotiv qui traverse les années 80 et 90. Le film retrace les étapes de la montée progressive du FN, les dérapages macabres du “diable de la République”, la dissidence mégrétiste, jusqu’à la nouvelle étape, en forme de tournant sur la question du rapport au pouvoir : le désir de le conquérir assumé par Marine,Le Diable de la République, “fille du diable qui se veut séduisante”, selon le mot du Père Fouettard.
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