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http://sacslouisvuittonfr.webs.com/Si le phénomène a été popularisé en 2010 suite au lancement d’Instagram,Sacs Louis Vuitton, il s’avère que lefood porn n’est pas né de la dernière pluie puisque la première mention de ce concept date de 1998,Louis Vuitton Pas Cher! Cette année-là,sac chanel pas cher, le Center For Science In The Public Interest américain, qui publie la Nutrition Action Health Letter,Sacs Louis Vuitton, lance une série d’articles sensés éduquer les Américains en montrant clairement et simplement ce qu’il faut manger versus ce à quoi il ne faut surtout pas toucher,sac chanel. Le «Right Stuff» d’un côté et,chanel pas cher, vous l’aurez deviné,Lunettes Louis Vuitton, le «Food Porn» de l’autre,chanel sacs. Pour eux,lunettes chanel, le food porn, ce sont des frites de chez Burger King ou un McFlurry de McDonald’s,sac chanel. Evidemment,sac chanel pas cher.

En avançant directement jusqu’en 2005, le terme «food porn» fait toujours débat: la chaine américaine The Food Network est accusée de se positionner à la frontière de la pornographie en raison des images qu’elle diffuse, et dont les caractéristiques ne sont pas sans rappeler le porno: lumière intense,chanel pas cher, gros plans en série,Chaussures Louis Vuitton, surfaces brillantes… Très vite,Lunettes Louis Vuitton, les premiers blogs culinaires vont s’approprier le phénomène,lunettes chanel, et le blog FoodPornDaily est fondé en 2008,sac chanel.

2012: lancement d’Instagram. L’application qui promet de révolutionner la photographie mobile en permettant à tout un chacun de se prendre pour le nouveau David Hamilton,Louis Vuitton Pas Cher. Finalement,Foodporn Le blog de l heaven,chanel pas cher, les utilisateurs se mettent rapidement à photographier et diffuser des photos de leurs repas,chaussures pas cher. Un hashtag fédérateur triomphe: le #foodporn est né.

Les motivations des aficionados du #foodporn sont vastes: entre la mannequin-internet qui montre à tout le monde que grâce à un métabolisme digne d’un film de science fiction,Chaussures Louis Vuitton, elle peut s’enfiler un cheeseburger tous les 2 jours sans prendre un gramme,Sacs Louis Vuitton, l’accro à la junk food en pleine rehab qui instagram sa salade de graines germées du lundi soir pour montrer à quel point elle fait preuve de volonté,Lunettes Louis Vuitton, ou encore les globe-trotters qui donnent des leçons de gastronomie locale, toutes les excuses sont bonnes pour photographier son repas et diffuser le résultat,lunettes chanel. Bref,sac a dos, le #foodporn fait fureur avec pas moins de 14686519 photos comportant ce tag sur Instagram à l’heure où j’écris ces lignes,sac chanel pas cher.

Les amateurs ne manquent pas de bonnes raisons pour expliquer leur passion: le #foodporn inspire,Chaussures Louis Vuitton, il met l’eau à la bouche,Louis Vuitton Pas Cher, il fait du bien aux yeux sans culpabilité, et permet de satisfaire notre éternelle curiosité quant à la vie que mènent nos amis / nos connaissances / de sombres inconnus.

Côté scientifique, une psychologue de l’école de médecine de Harvard estime que le food porn s’appuie sur un phénomène qu’elle appelle «stimulus supranormal» et qui amplifie notre attirance pour des qualités que nous sommes déjà programmés pour aimer. Ici, il s’agirait d’aliments riches en calories, en gras, en sucre… ce qui explique la popularité des photos de desserts sur internet.

Pourquoi ça pourrait finir par être interdit?

Plusieurs scientifiques ont d’ailleurs déjà tiré la sonnette d’alarme: regarder du food porn donne faim, fragilise le sentiment de satiété et active le centre de récompense de notre cerveau. Face à une assiette disposée à portée de main, des mécanismes de régulation sont activés par le cerveau, alors qu’ils sont incapables d’agir lorsqu’il s’agit d’une image sur un écran. Par conséquent, le food porn encouragerait la malbouffe. Mais bon, ce n’est pas la seule menace qui plane sur cet art.

Les «vrais» photographes et stylistes culinaires ne cessent également de fustiger cette sale manie que nous avons de prendre en photo, à la va-vite, nos moindres repas: «Arrêtez de prendre vos gobelets Starbucks en photo! Personne n’est intéressé par votre Big Mac non plus. Vous photographiez des raisins secs? Mais où avez-vous la tête?»

Mais si le food porn est aujourd’hui en danger, c’est suite à des plaintes émanant de nombreux chefs américains exaspérés de voir certains clients déranger les autres invités lors du photo-shooting improvisé qui a lieu chaque fois qu’un plat est déposé sur la table. Certains chefs font preuve de bonté et invitent les photographes amateurs à photographier leur plat dans la cuisine. D’autres ont purement et simplement interdit toute forme de photographie au sein de leur établissement.

La pratique et les ‘hipsters’ qui en abusent sont décriés sur internet, comme le montrent cette vidéo parodique intitulée «Eat It Don’t Tweet It » et le Tumblr «Pictures of Hipsters Taking Pictures Of Food ». Mais puisque la critique est la rançon du succès, on peut parier que le #foodporn a encore de beaux jours devant lui.http://sacvuitton2013.webs.com/

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