http://www.chaussuresmagasins.comVous le trouverez dans votre bar prÈfÈrÈ, rÈpandu sur le zinc,tods chaussures. Si vous sortez la nuit,tods pas cher, il est fort probable que vous en piÈtiniez quelques-uns,chaussures pas cher. Un ami aux cheveux teints en bleu en porte toujours, froissÈs au fond de sa poche,tod’s femme. Mais qu’est-ce que c’est ,tods chaussures pas cher? “Mais un Flyer,tods chaussures, voyons!”,tods, rÈpond le dandy moderne avec un soupir d’exaspÈration,pum pas cher. Disons un Objet Volant Non IdentifiÈ. Il y a ceux qui les comprennent et ceux qui contemplent sidÈrÈs ce rien du tout de papier,http://todsfemme.chaussurespaschere.info, prÈsentant une image graphique ambigue,nike pas cher, par exemple une abeille sur un cactus,tods pas cher, ainsi que de cryptiques indications de date et de lieu,tods Femme. Au mieux,chaussures puma speed cat, quelques mots en anglais,Converse pas cher, performance,chaussures puma, night,puma pas cher, club,tods pas cher, etc,tods soldes.
On dirait un rendez-vous clandestin: s’agit-il d’une invitation ou d’une incitation,chaussures pas cher? Le dandy moderne, qui fait partie des conjurÈs, sait o_, quand et comment. Ce pourrait Ítre de la propagande. Mais pas du tout. Il s’agit de pu-bli-ci-tÈ. Les Flyers annoncent des fÍtes et des Èvenements nocturnes, leur but est commercial. Une bien curieuse publicitÈ, cependant: quel est donc le produit vendu? L’image graphique absorbe l’information, comme si l’art utilisait la publicité. En dÈpit du simple support papier, son aspect graphique est le fruit des technologies les plus avancÈes, et correspond ‡ l’expression la plus libre d’une nouvelle gÈnÈration de créateurs. Il s’agit bien l‡ d’un vÈritable langage graphique, d’une esthÈtique spÈcifique, et de plus, de l’une des premiËres ‡ se produire ‡ un niveau mondial, global, dÈpourvue de centre radicant d’influence. Les concepts se dÈveloppent suivant des systËmes (dÈrision, rÈcupÈration, recyclage et dynamisme) qui laissent sous-entendre que nous sommes en prÈsence, au-del‡ de l’objet Flyer, d’une vÈritable Èthique, dont les valeurs s’insËrent parfaitement dans le cadre de la nouvelle “sociÈtÈ de l’information”, et accentuent le rejet de “l’ordre ancien” des choses. Cependant, peut-on parler ici d’Art ?
Le Flyer, objet apocryphe, hautement pÈrissable et reproduisible, entre-t-il dans la catÈgorie “Art”? Voil‡ qui bouscule bien des idÈes reÁues. Le malaise envahit l’observateur prÈ-Èlectronique, qui se rebelle ‡ l’idÈe de nommer artiste quelqu’un qui utilise une machine qui “sait tout faire”. Une sÈrie de pensÈes fatiguantes s’ensuit: Qui a droit au titre d’artiste? Celui qui le conÁoit ou celui qui le produit? O_ se trouve l’Art,pas cher? Dans l’objet, dans la signature de l’artiste ou dans l’oeil de celui qui regarde? La virtualitÈ reste encore suspecte. Le Flyer provoque de la gÍne, dans son flamboyant mutisme, comme s’il Ètait avant tout l’exaspÈrant porte-voix de papier d’une esthÈtique virtuelleCrÈer un Flyer est un jeu, nous ne sommes pas si loin des “cadavres exquis” des surrÈalistes. Comme le disait le philosophe JosÈ Ortega y Gasset: ” L’idÈe ou l’image -fantaisie- qui possËde le caractËre fascinant n’est pas plus que la persistance d’une ou plusieurs perceptions”. Son absence de nature, d’essence intrinsËque, ouvre pour le jeune créateur, anxieux de dÈvelopper son talent, un champ quasi illimitÈ de libertÈ crÈative, ainsi que la possibilitÈ de l’exprimer.http://pumpascher.chaussurespaschere.info
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